Catégorie : deuil – nostalgie – tristesse

We shall dance, forever and ever…

Les jours s’embuent de larmes quand février s’approche inexorablement, apportant le poids d’une année de plus sans toi. Non, jamais je ne pourrai t’oublier, tourner la page, comme ils disent, jamais je ne passerai un jour sans te garder vivant… Lire la suite We shall dance, forever and ever…

Morphée ?…

La Faucheuse n’a pas sa pareille pour nous priver soudainement de ceux qu’on aime… Sournoise, elle nous fait croire à quelque miraculeuse embellie pour bientôt anéantir tous les espoirs qu’elle avait fait naitre en nous, naïfs que nous sommes, pourtant… Lire la suite Morphée ?…

« Sans ELLE »…

IL m’a ouvert sa porte, tout perdu dans ses habits devenus bien trop larges, avec quinze kilos de moins et tout ce chagrin en quelques semaines à peine. Les larmes noient son regard sans couler sur ses joues mal rasées…. Lire la suite « Sans ELLE »…

Apnée…

Il arrive sans prévenir. Parce que le chagrin est égoïste, il aime être l’unique centre de notre intérêt, il se nourrit de ces moments dont la violence lui fournit larmes et désolations, il déteste la tendresse du souvenir qui, un… Lire la suite Apnée…

Concerto…

Écoute ça Maman… Tu entends ça Papa ?… C’est un concerto que donne le vent dans les feuillages, le printemps rend plus douce sa musique, la sève nouvelle redonne chevelure aux arbres qui hier encore frissonnaient sous l’incertitude de Février,… Lire la suite Concerto…

Les pages…

L’automne se faufile discrètement entre deux nuages qui, mine de rien ont légèrement voilé la lumière, les rayons du soleil ont déposé leurs paillettes sur les feuilles roussies, l’herbe une dernière fois use ce qui lui reste d’énergie pour narguer… Lire la suite Les pages…

Rizzly…

« Ce n’était qu’un chien » diront certains… Et que savent-ils des chiens ces gens là ?! Ont-ils un jour croisé le regard de l’un deux ? Ont-ils su y déceler cette part d’humanité que bien des nôtres ne posséderont jamais ?… Lire la suite Rizzly…

Et puis soudain, plus rien…

Je tenais ta main bien au chaud dans la mienne, pour empêcher le froid de s’y installer à jamais, je croyais que rien ne pouvait t’arriver tant que mon énergie se fondrait dans le peu de force qu’il te restait…… Lire la suite Et puis soudain, plus rien…

Spirale…

Qu’ils sont étonnants ces lourds nuages gris, qui bien que nuées semblent peser des tonnes ! Comment peuvent-ils être si sombres alors que s’en échappent des milliers de flocons immaculés qui recouvrent peu à peu la campagne et ses toits… Lire la suite Spirale…

Trêve des confiseurs…

J’ai retrouvé mon « cocon protecteur » après quelques jours emprunts d’amour et de tendresse auprès de mes enfants, de près ou de plus loin, ils sont ma chance et ma force, les élans affectueux de mes petites-filles, ceux de mes trois… Lire la suite Trêve des confiseurs…

Un automne encore…

La lumière d’octobre a les mêmes reflets que les couleurs automnales des feuilles jaunissantes. On ne peut cependant se méprendre sur l’éclat de cette dorure flamboyante qui annonce les froidures à venir. La nature épuisée trouve dans le vent qui… Lire la suite Un automne encore…

Deuil ?…

Un grand chagrin tel une sangsue cherche sans fin de quoi se nourrir pour ne jamais s’éteindre… Il ressemble aux hésitations de ce printemps larmoyant, qui n’en finit pas de tergiverser entre éclaircies et pluies… Certains matins lumineux laissent envisager… Lire la suite Deuil ?…

Moi sans Toi…

C’est un autre soir sans toi, comme tant d’autres avant celui-ci. Et pourtant je vis… Trois années ont passé, sans te voir ni te toucher… Je ne savais pas comment survivre à Ça… Et puis, jour après jour, curieusement, je… Lire la suite Moi sans Toi…

Puisque rien ne dure…

Tout passe, inexorablement. L’automne baisse les lumière, l’hiver les éteint, le printemps les rallume, l’été sous ses airs de conquérant n’est qu’un opportuniste qui signe les efforts des précédents, avant que tel le chant du cygne, il n’annonce en magnificence… Lire la suite Puisque rien ne dure…

D.E.U.I.L ?…

Le véritable deuil ne commence que lorsque le chagrin n’a plus besoin des sanglots dont il se faisait une armure. En renonçant aux larmes taries d’avoir tant coulé, il doit se suffire à lui-même sans cet sorte d’exutoire que sont… Lire la suite D.E.U.I.L ?…