Étiquette : Absence
We shall dance, forever and ever…
Les jours s’embuent de larmes quand février s’approche inexorablement, apportant le poids d’une année de plus sans toi. Non, jamais je ne pourrai t’oublier, tourner la page, comme ils disent, jamais je ne passerai un jour sans te garder vivant… Lire la suite We shall dance, forever and ever…
Apnée…
Il arrive sans prévenir. Parce que le chagrin est égoïste, il aime être l’unique centre de notre intérêt, il se nourrit de ces moments dont la violence lui fournit larmes et désolations, il déteste la tendresse du souvenir qui, un… Lire la suite Apnée…
« Présence »…
Les années ont beau passer, l’âme se résoudre à cheminer lourde de ce chagrin inépuisable, la mort est quelque chose de tellement inimaginable, plus qu’une absence insondable, c’est un fait inconcevable, une énigme sans réponse qui nous laisse chancelants, interdits,… Lire la suite « Présence »…
Et puis soudain, plus rien…
Je tenais ta main bien au chaud dans la mienne, pour empêcher le froid de s’y installer à jamais, je croyais que rien ne pouvait t’arriver tant que mon énergie se fondrait dans le peu de force qu’il te restait…… Lire la suite Et puis soudain, plus rien…
Silence…
Le silence serait l’absence de toute « pollution » sonore. Mais le silence absolu serait insupportable puisqu’aucun bruit contraste ne lui conférerait son existence. Nos jours sont terriblement bruyants de toutes parts. Le brouhaha est permanent, en s’éloignant d’une source on se… Lire la suite Silence…
Combien je t’aime ?…
« Je t’aime un peu, beaucoup, à la folie ou pas du tout » ?! « Aimer », c’est un verbe qui ne veut pas dire grand chose tant qu’il n’a pas rencontré d’obstacle. Il voudrait tout englober sans discernement, mais qui « trop embrasse… Lire la suite Combien je t’aime ?…
Communs…
Que deviennent les bureaux désertés, les salles d’attentes quand la nuit est tombée ? Vides des présences qui leur prêtent un soupçon de vie, les murs gardent-ils dans leurs angles ces couleurs de vieux thé trop infusé ? A quoi… Lire la suite Communs…
D.E.U.I.L ?…
Le véritable deuil ne commence que lorsque le chagrin n’a plus besoin des sanglots dont il se faisait une armure. En renonçant aux larmes taries d’avoir tant coulé, il doit se suffire à lui-même sans cet sorte d’exutoire que sont… Lire la suite D.E.U.I.L ?…
Davilia Involucrata (ou mon « arbre à mouchoirs »)…
C’est un arbre qui porte bien son nom, au printemps, ses fleurs ressemblent à de petits mouchoirs blancs posés ça et là sur ses longues branches brunes. Mon amoureux me l’avait offert, nous lui avions trouvé sa place juste en… Lire la suite Davilia Involucrata (ou mon « arbre à mouchoirs »)…
Mon chemin n’est autre que celui là…
Je suis mon chemin de sable et de pierres, titubante parfois, dévastée toujours, et cependant encore debout, je ne sais pourquoi, je ne sais comment. Les absences s’accumulant me laissent orpheline de mes vies d’avant. Démunie, quelle force suffirait à… Lire la suite Mon chemin n’est autre que celui là…
L’absence….
Bonjour, c’est Moi…. Ah c’est Vous?… Je crois vous avoir croisé déjà ? Je vous prie de me pardonner, je me sais encombrante, mais comprenez moi je n’ai d’existence que lorsque quelqu’un n’en a plus… Alors me voilà, présence impalpable… Lire la suite L’absence….
Deux tours de clefs et…
Deux tours de clefs et ce sera terminé… Je ne reviendrai plus jamais m’asseoir ici, et pour tout dire, je ne crois pas que cette chaise inconfortable fasse partie de mes regrets… Deux tours de clefs dans le silence des… Lire la suite Deux tours de clefs et…
Nanard… « Monsieur » Nanard, s’il vous plait !…
Notre ami nous a brutalement quitté il y a quelques semaines, et puisqu’on avait dû se plier à la décision implacable de la famille de ne permettre à quiconque de lui dire au-revoir, il aura fallu l’inaltérable et fidèle amitié… Lire la suite Nanard… « Monsieur » Nanard, s’il vous plait !…
Quand Cupidon perd ses ailes…
Que faire de soi quand l’autre s’en va ? Quand, sans que rien ne vous l’ait laissé présager, soudain se brise un lien que vous pensiez indéfectible… L’abandonné ne comprend pas cette rupture brutale qu’on lui impose sans que jamais auparavant… Lire la suite Quand Cupidon perd ses ailes…
365 jours et des poussières…
Rose, je pense à toi. Souvent. Je crois t’apercevoir encore, parfois au détour d’une rue. Une blondeur, que sais-je, une silhouette qui s’efface dès qu’on l’attrape du bout des yeux… Je ne pleure plus. Ou alors parce que les photos…… Lire la suite 365 jours et des poussières…