Étiquette : émotions
Labyrinthique…
Elle a enjambé le talus herbeux pour d’un saut retrouver la terre durcie d’un sentier, après des jours d’errance à l’ombre des grands arbres, elle retrouvait enfin courage, si elle ne savait pas encore où la mènerait ce chemin pierreux,… Lire la suite Labyrinthique…
Demain…
L’Avenir est un paysage tout en rondeurs, avec des coins d’ombre, d’autres plus lumineux, chacun y dessine son imaginaire, ses espoirs, ses peurs. J’y mets pour ma part beaucoup de curiosité et de fantaisie. J’y crois à ce futur encore… Lire la suite Demain…
« Qui ne tente rien n’a rien »…
La déception est à la mesure de l’espoir qui l’a précédé, mais pas toujours. Certains pressentiments la précèdent souvent qui rendent la chute prévisible… Elle ne doit rien à personne, c’est un enchevêtrement d’intuitions, d’émotions, de serrements de coeur… On… Lire la suite « Qui ne tente rien n’a rien »…
Rizzly…
« Ce n’était qu’un chien » diront certains… Et que savent-ils des chiens ces gens là ?! Ont-ils un jour croisé le regard de l’un deux ? Ont-ils su y déceler cette part d’humanité que bien des nôtres ne posséderont jamais ?… Lire la suite Rizzly…
Ivresse en « Absurdie »…
« Il faut être toujours ivre. Tout est là : c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ?… Lire la suite Ivresse en « Absurdie »…
Écrire…
C’est prendre un crayon pour dessiner ses émotions. Celles qui affleurent à la beauté d’un paysage, d’une œuvre, d’un sentiment, celles qui couvrent pudiquement un chagrin, une défaite, ou un regret, mais aussi tous les éclats de rire, les sourires… Lire la suite Écrire…
Tic-tac, tic-tac…
Les anniversaires sont des jours curieux où l’on est censé se souvenir plus intensément d’un évènement passé. Celui de notre naissance n’a finalement guère d’importance, même si l’on accorde aux dizaines toutes rondes une raison de les fêter plus spécialement…. Lire la suite Tic-tac, tic-tac…
Ah ça ira, ça ira, ça ira… Ou le dialogue intime…
Ça va aller, ça doit aller ! Ça ira ! Allez hop ! En avant ! Un pied devant l’autre, on regarde droit devant, on ne se retourne pas, pas tout de suite, on avance, après on verra ! Faut… Lire la suite Ah ça ira, ça ira, ça ira… Ou le dialogue intime…
Colère « bien élevée »…
Je veux parler de cette colère qui nous ronge de l’intérieur, de cette colère « bien élevée » qui s’interdit la plupart du temps d’exploser, parce qu’on vous a appris à la maitriser, à ne pas dire tout haut ce qu’on pense… Lire la suite Colère « bien élevée »…
L’inaccessible légèreté « d’avant »…
J’ai soudain l’acte sous les yeux, que le temps a déjà terni de son empreinte grise, où un employé zélé à écrit que tu étais bien mort, ce 29 Août 2005. J’ai beau le savoir depuis bientôt dix ans, j’ai toujours… Lire la suite L’inaccessible légèreté « d’avant »…
Des kilomètres d’asphalte et de plomb…
Cette route est une douleur… Moi qui loin d’ici croyais avoir presque tout oublié de ces sombres années pour n’en garder que l’essentiel : un regard distancié sur tout ce qui dorénovant pourrait m’arriver… Moi qui loin d’ici me sentais… Lire la suite Des kilomètres d’asphalte et de plomb…
Alice : 8760 heures poudrées de bonheur…
Ma princesse fête son premier anniversaire ! Comme de bien entendu, je n’en reviens pas de cette année qu’une fois encore je n’ai pas vu passer ! La Grand-Maman, du coup, en a pris une de plus elle aussi, et… Lire la suite Alice : 8760 heures poudrées de bonheur…
A la folie ?… Pas du tout…
Le petit théâtre résonne du brouhaha des chaises métalliques trainées sur le parquet, de l’effervescence des spectateurs qui s’installent en conversant. L’endroit, dans sa douce pénombre, se prête mieux qu’aucun autre à l’intime partage que proposent cette troupe baroque… Une… Lire la suite A la folie ?… Pas du tout…
Endaïa…
Des années… Que la maison somnole sous l’Embata… Meublée sans élégance d’un mobilier disparate, volets baissés sur des fenêtres aux rideaux défraîchis. A peine un habitant provisoire tourne t’il la clef dans la serrure en refermant la porte derrière lui qu’aussitôt… Lire la suite Endaïa…
Mémoires de murs…
Je ne sais si le silence, en s’installant dans des lieux inhabituellement déserts, favorise la perception de ce qu’ils nous révèlent… Dans le collège les pièces sont dessinées comme des eaux fortes, les traits sont précis, comme les piles de dossiers… Lire la suite Mémoires de murs…