Épuisée, sans aucun doute… Anéantie de tristesse et d’inquiétude… Comme […]
Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver…
Sous son emprise les grands sapins d’à côté sont pris […]
Ma terrasse…
Ici tout appelle l’été. Le bleu du portillon et de […]
Endaïa…
Des années… Que la maison somnole sous l’Embata… Meublée sans élégance […]